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LE BÉLIAL'

Maison indépendante créée en 1996, les éditions du Bélial' consacrent leur catalogue aux littératures de genre (le fantastique, la fantasy et la science-fiction, avec un intérêt tout particulier pour ce dernier domaine).

Editeur de la revue trimestrielle Bifrost, le Bélial' publie une dizaine d'ouvrages chaque année romans, recueils et anthologies qui présentent un panorama exigeant des auteurs d'aujourd'hui et de demain, sans oublier les grands anciens, les pionniers, souvent proposés dans de nouvelles traductions et éclairés d'un appareil critique incontournable.

Le Bélial', c'est le meilleur des littératures de genre : de Greg Egan à Lucius Shepard et Stephen Baxter, de Claude Ecken à Thierry Di Rollo ou Catherine Dufour...

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Bifrost n° 76

Bifrost n° 76

Regarnis la pipe. Si je dois raconter cette histoire comme il faut, j’aurai besoin de son aide. C’est bien. Non, inutile de rajouter une bûche dans le feu. Laisse-le mourir. Il y a pire que l’obscurité.
Ecoute la taverne grincer et gémir dans son sommeil ! Ce ne sont que ses os et ses pierres qui se tassent, pourtant on jurerait entendre le plus esseulé des spectres. Il est tard. On a barré la porte, clos les portes à chaque bout du Pont.
Le feu dépérit. Dans le monde entier, il n’y a d’éveillés que toi et moi. Ce récit ne convient guère à des oreilles aussi jeunes que les tiennes, mais... Oh ! Pas de cet air renfrogné. Tu vas me faire rire, ce qui messied à ma triste histoire. Bon, voilà qui est mieux.
Rapprochons nos tabourets des braises, que je te dise tout...

Michael Swanwick
Le Récit du changelin

 

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Le Royaume blessé

Le Royaume blessé

« Écoutez ! Ma parole est vérité ! Voici l’histoire d’Eylir Ap’Callaghan !

Je rêvais de lui longtemps avant que nos chemins ne se croisent. Un guerrier résolu, avec ses grandes bottes et l’épée Misère à sa ceinture, avançant dans les marais en menant son cheval par la bride… Eylir, foutu Kelte ! Droit, fort, obstiné, colérique et généreux, qui rit dans la bataille et soulève les femmes par la taille ! Eylir, tombé dans la boue et monté si haut, jusqu’à poser sur sa tête la couronne du Roi des Rois. Un héros, capable de changer le monde de ses propres mains. »

Né en 1975, Laurent Kloetzer a écrit plusieurs romans de fantasy dont La Voie du cygne ou le recueil Petites morts, mais aussi de science-fiction, dont le récent Anamnèse de Lady Star. Le présent ouvrage se veut une édition définitive du roman Le Royaume blessé paru aux éditions Denoël en 2006, accompagné du Dit de l’errant, recueil de douze nouvelles prenant place dans l’univers du roman, dont dix jamais publiées à ce jour.

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Les Pourris

Les Pourris

Dans un monde en décomposition, le plus dur est de conserver son intégrité physique. C'est le principal problème auquel sont confrontés le Crépu, Pièces-Détachées et les autres. Zombies de leur état, ils hantent une ville dépeuplée depuis l'apocalypse, où ils vivent un indolent quotidien post-mortem… L'autre problème, ce sont ces pulsions, longtemps oubliées, au niveau de l'entrejambes et aux effets délétères.

Avec « Les Pourris », Xavier Otzi nous propose une virée à la fois drôle, tendre et surtout trash, dans un monde où les zombies ne sont pas les monstres décérébrés que l'on imagine. Pas tout à fait…

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Zombies, un horizon de cendres (réed.)

Zombies, un horizon de cendres (réed.)

Premier jour : Au loin, il y a votre voisin. Vous lui faites un signe avant de poursuivre votre route. Jusqu’au moment où vous réalisez que le voisin en question est décédé depuis des semaines…
Troisième jour : Vous ne décollez plus de la télé, qui enchaîne les émissions spéciales. Partout dans le monde les morts se réveillent. Apathiques, ils errent au royaume des vivants…
Cinquième jour : Paralysé de trouille et de dégoût, vous regardez votre femme serrer dans ses bras, au beau milieu de votre salon, une chose qui, un jour, fut sa mère…
Huitième jour : Votre femme vous a quitté après que vous avez réduit en cendres l’ignominie qu’elle appelait « maman ». Derrière vos volets cloués, alors que le chien ne cesse de geindre, ils rôdent.
Neuvième jour : La télé diffuse un reportage au cours duquel on voit une de ces choses dévorer un chat vivant… Ils sont désormais des millions et vous ne vous posez qu’une question : mon monde n’est-il pas désormais le leur ?

Avec Zombies, un horizon de cendres, texte choc hommage au Dawn of the Dead de George A. Romero ainsi qu’au célèbre roman Je suis une légende de Richard Matheson, Jean-Pierre Andrevon nous offre une fin du monde qui, au-delà de l’horreur, se révèle une tranchante analyse de l’altérité doublée d’un regard sans concession sur les maux de la modernité.

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Les Perséides

Les Perséides

« Finders était le nom d’une librairie d’occasion délabrée près de l’université. Un endroit que Paul adorait. J’y étais allé, mais il ne m’avait pas fait forte impression. On y trouvait quelques éditions originales qui manquaient de tenue, un grand rayon d’absurdités occultes dans le genre de Madame Blavatsky et des romans à deux sous oubliés des années 50... »

C’est l’histoire de deux géographies intriquées : celle des ruelles nocturnes de Toronto et celle de l’étrange librairie Finders, deux géographies qui ne sont pas ce qu’elles semblent être car non, décidément, la carte n’est pas le territoire... C’est l’histoire des abîmes vertigineux de l’espace et du temps et de ce qu’ils abritent, de l’étrange et de l’occulte, là, au coin de la rue, au détour d’un rayonnage de bibliothèque ou sur une case d’échiquier... C’est l’histoire de ce qui ne peut être vu et que l’on voit quand même, de ce qui ne peut être dit et qu’il nous faut dire, malgré tout... C’est l’histoire des Perseides, neuf récits se répondant les uns les autres pour tisser l’ébauche d’un paysage indicible, un livre à l’ombre des grands maîtres tutélaires de l’œuvre wilsonienne : Jorge Luis Borges, Howard Phillips Lovecraft et Clifford D. Simak en tête. Peut-être le livre le plus personnel de Robert Charles Wilson.

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Les Perséides

Les Perséides

« Finders était le nom d’une librairie d’occasion délabrée près de l’université. Un endroit que Paul adorait. J’y étais allé, mais il ne m’avait pas fait forte impression. On y trouvait quelques éditions originales qui manquaient de tenue, un grand rayon d’absurdités occultes dans le genre de Madame Blavatsky et des romans à deux sous oubliés des années 50... »

C’est l’histoire de deux géographies intriquées : celle des ruelles nocturnes de Toronto et celle de l’étrange librairie Finders, deux géographies qui ne sont pas ce qu’elles semblent être car non, décidément, la carte n’est pas le territoire... C’est l’histoire des abîmes vertigineux de l’espace et du temps et de ce qu’ils abritent, de l’étrange et de l’occulte, là, au coin de la rue, au détour d’un rayonnage de bibliothèque ou sur une case d’échiquier... C’est l’histoire de ce qui ne peut être vu et que l’on voit quand même, de ce qui ne peut être dit et qu’il nous faut dire, malgré tout... C’est l’histoire des Perséides, neuf récits se répondant les uns les autres pour tisser l’ébauche d’un paysage indicible, un livre à l’ombre des grands maîtres tutélaires de l’œuvre wilsonienne : Jorge Luis Borges, Howard Phillips Lovecraft et Clifford D. Simak en tête. Peut-être le livre le plus personnel de Robert Charles Wilson.

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Les Perséides (nouvelle)

Les Perséides (nouvelle)

À Toronto, de nos jours. C’est lors de l’achat d’un télescope que Michael, astronome amateur, rencontre Robin. Bien que vendeuse de lunettes astronomiques, la jeune femme éprouve une répugnance envers ces appareils : « On ne regarde pas dans le télescope. Parce qu’il se pourrait que quelque chose vous y regarde aussi. » Des fadaises ? À mesure que Michael apprend à connaître Robin et ses amis, il va découvrir que rôdent, peut-être, des choses, dans le noir.

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L'Éducation de Stony Mayhall

L'Éducation de Stony Mayhall

« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »

Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...

« Lisez ce livre comme une parabole politique mordante ; comme une allégorie religieuse chargée d’ironie ; comme une approche goguenarde de l’altérité ; comme une habile méditation sur le mystère, les limites de la chair ; comme l’un des meilleurs romans de genre de l’année — mais avant tout, lisez-le ! » (James Morrow)

L’Éducation de Stony Mayhall est le premier roman de Daryl Gregory publié en français.

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L'Éducation de Stony Mayhall

L'Éducation de Stony Mayhall

« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »

Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...

« Lisez ce livre comme une parabole politique mordante ; comme une allégorie religieuse chargée d’ironie ; comme une approche goguenarde de l’altérité ; comme une habile méditation sur le mystère, les limites de la chair ; comme l’un des meilleurs romans de genre de l’année — mais avant tout, lisez-le ! » (James Morrow)

L’Éducation de Stony Mayhall est le premier roman de Daryl Gregory publié en français.

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Deuxième personne du singulier

Deuxième personne du singulier

Adolescente américaine sans histoire, Thérèse est morte voici deux d'une overdose de Z. Z comme zombie ou Z comme zen : c'est là une drogue qui fait davantage qu'altérer la conscience, en l'oblitérant. Définitivement en cas d'abus. Physiquement, Thérèse n'est pas morte. Elle n'est juste plus cette personne que les autres persistent à appeler Thérèse.

Quelque part entre le Greg Egan de « En apprenant à être moi » et le Peter Watts de Vision aveugle, « Deuxième personnel du singulier » de Daryl Gregory questionne avec finesse et humanité les notions d'identité et de conscience au regard des récentes découvertes scientifiques en neurologie.

 

Distribué sous les termes de la licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France
Parution originale : « Second Person, Present Tense », dans Asimov’s Science Fiction, septembre 2005
Première parution française : Angle mort n° 1, novembre 2010

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