« De bout en bout c'est donc de la belle ouvrage, supérieur imho à un premier opus qui était déjà de fort bonne qualité, d'autant que c'est encore une fois abondamment illustré par un Nicolas Fructus au mieux de sa forme. À lire. » Quoi de neuf sur ma pile
« Après un Eifelheim magistral mais pas forcément à même de séduire tous les publics, on tient là sans conteste une novella à même d’imposer en France, ENFIN, Michael Flynn comme un auteur reconnu comme majeur, comme cela aurait dû être le cas depuis toujours. » Le Culte d'Apophis
« Connexions est un texte de pur plaisir pour les amateurs de science-fiction, délirant à souhait, emplis de références, qui rompt l’ennui des lectures récentes et convoque des images rappelant au lecteur désabusé ce pourquoi il entretient depuis l’adolescence une bibliothèque qui déborde de titres de science-fiction. Il n’y a pas de hasard. » Sur l'Épaule d'Orion
« Océanique offre un nouvel aperçu de la capacité de l’écrivain australien à réinventer notre quotidien à l’aune de la science et de ses avancées. Un auteur majeur qui n’est jamais aussi efficace que dans ses nouvelles ou novellas. ,» La Yozone
« Inattendu, roublard et finalement terriblement touchant, Éversion étonne en prenant le lecteur à contre-pied. Cette aventure de science-fiction protéiforme transforme la froide réflexion mathématique en vibrante ode à une humanité retrouvée par la compréhension de l’autre… et Alastair Reynolds nous offre ainsi un roman que l’on n’attendait pas, passionnant jusqu’au bout et déchirant sans prévenir. » Just A Word
« (…)un troisième tome idéal pour finir la trilogie des Molly. Peut-être qu’on pourrait dire qu’il manque d’ambition par rapport au début de la trilogie ou que la fin est un peu convenue. Pourtant, c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai suivi les dernières aventures de Molly. J’ai trouvé que l’auteur était généreux avec ses lecteurs et nous offre une vision plutôt complète de l’histoire qui a mené à la naissance de Molly et à celle de Tamara. Une fin offrant les possibilités de lâcher son passé et de repartir à zéro. » Chut, maman lit…
« Avec Éversion, Alastair Reynolds signe un roman à mi chemin entre le récit d’aventure maritime à la O’Brian et le récit d’horreur d’influence lovecraftienne, avant de basculer dans de la pure SF. Porté par un personnage extrêmement attachant, l’ouvrage repose en grande partie sur la qualité de sa construction narrative dont la clé de compréhension est à la fois surprenante et d’une élégante simplicité. Une belle découverte ! » Le Bibliocosme
« Jouant avec l’horreur, le fantastique, le récit d’aventures et une certaine distorsion à la Quatrième Dimension, ce magnifique récit de hard SF fait également la part belle aux sentiments, et se termine sur une touche mélancolique. Qu’attendez-vous pour embarquer à bord du Demeter ? » De l'autre côté des livres
« On est dans le cas merveilleux, où l’histoire réduite à sa plus simple expression n’aurait rien de révolutionnaire, mais trouve une expression formelle si singulière, si audacieuse, et surtout si insolemment réussie, qu’elle se retrouve magnifiée et exprime bien plus que la simple somme de ses parties. » Le Syndrome Quickson
« Les quatre vents du désir est un superbe recueil de nouvelles, une très bonne porte d’entrée à l’œuvre d’Ursula K. Le Guin et de manière générale une lecture que je ne peux que vous recommander. » Nevertwhere