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Actualités

En librairie ce 25 août

La double sortie du jour au Bélial’, c’est d’un côté La Cité des permutants de Greg Egan (trad. Bernard Sigaud), roman de hard science vous plongeant au cœur de la problématique des mondes virtuels, et de l’autre La Millième Nuit d’Alastair Reynolds (trad. Laurent Queyssi), condensé de space opera vous propulsant dans un futur lointain de plusieurs millions d’années !

“La Cité des permutants” : l'avis de L'Épaule d'Orion

« Dans l’Himalaya qu’est la bibliographie science-fictive de l’auteur, La Cité des permutants est indéniablement l’un des sommets. C’est un roman exigeant qui rétribue son lecteur par une profondeur de réflexion peu commune. J’admire le courage des auteurs de science-fiction contemporains. Il en faut pour encore écrire sur un sujet qui a été préalablement abordé par Greg Egan. » L'Épaule d'Orion

“Noon du soleil noir” : l'avis d'Ombre Bones

« … et, petit bonus mais non des moindres : le livre est parsemé d’illustrations intérieures réalisées également par Nicolas Fructus, ce qui donne un relief supplémentaire à l’univers. Noon du soleil noir constitue donc un divertissement de très bonne facture. On en redemande ! » Ombre Bones

“Noon du soleil noir” : l'avis d'Elbakin.net

« Somme toute, il n’y a pas un instant pour s’ennuyer entre ces pages, pas un où l’on lève les yeux devant une facilité, et il est bien difficile de lâcher l’ouvrage avant d’avoir atteint la dernière page. Tout est réussi : la narration, le cadre du récit, les personnages, l’hommage, et la lecture est un plaisir de bout en bout. » Elbakin.net

“Un an dans la Ville-Rue” : l'avis de Célindanaé

« Avec Un an dans la Ville-Rue, Paul Di Filippo nous propose l’histoire d’une surprenante ville-monde pendant un an au travers du regard d’un écrivain. Il effectue ainsi une véritable mise en abyme rendant hommage aux récits populaires, à l’imaginaire. Le récit se dédouble ainsi, portant de multiples réflexions en son sein. » Au Pays des Cave Trolls

On reparle de “L'Enfance attribuée”

« De la très bonne ouvrage, en somme. Technique sans être aride, émouvant sans verser dans le pathos, engagé sans être trop militant ; encore une novella de qualité venant grossir les rangs du tout venant de l’excellence de cette décidemment formidable collection Une-Heure-Lumière. Et voilà, que dire de plus, à force, hein, franchement ? » Le Syndrome Quickson

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