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Pierre-Paul DURASTANTI

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Singularité

Xeelees - 2

Singularité

« Les Xeelees possédaient l’univers…

Quand les hommes avaient émergé du système solaire en se traînant à vitesse subluminique sur les premiers vaisseaux GUT, ils étaient entrés dans un environnement complexe peuplé de nombreuses races intelligentes dont chacune obéissait à ses propres impératifs et poursuivait ses propres buts. […] Moins de deux siècles après l’époque de Michael Poole, la Terre était conquise, puis transformée en camp de travail par les gestalts aquatiques que les humains avaient appelé les Squeems. [Mais] où que les hommes et les races qu’ils avaient rencontrées regardent, ils voyaient l’empreinte des Xeelees. Se tenant à l’écart de l’univers, ils évoquaient des dieux : indifférents à tout, concentrés sur leurs vastes œuvres et leurs mystérieux projets… »

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il échoue aux examens de présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant à paraître aux éditions du Bélial’.

Si Singularité est le deuxième volet des « Xeelees », il peut se lire, à l’instar de l’ensemble du cycle, de façon indépendante. Space opera débridé, ce roman cristallise à merveille le vertige propre au meilleur de la science-fiction, une sidération palpable face à la mise en perspective d’un futur peuplé de merveilles et d’étrangetés.

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Frères lointains

Frères lointains

Un recueil inédit signé Clifford D. Simak !

« Nous venons en amis, projeta-t-il mentalement. Nous venons…

– Vous n’auriez pas dû venir, dit l’autre par la pensée.

– Nous ne vous ferons aucun mal, poursuivit Decker par le même biais. Nous venons en amis. Nous ne…

– Vous ne repartirez jamais.

– Soyons bons amis. Nous apportons des cadeaux. Nous vous aiderons. Nous…

– Vous n’auriez pas dû venir, réitéra l’humanoïde. Mais puisque vous êtes là, vous ne repartirez jamais. »

Ne le contredis pas, songea l’homme.

« Entendu, projeta-t-il. Nous allons rester. Rester et être de bons amis. Rester et vous instruire. (…)

– Vous ne repartirez jamais. »

Le bonhomme allumette était certain de ce qu’il disait ; il parlait sérieusement. Sans dramatiser, ni se vanter, ni bluffer non plus. (…)

Le chef de l’expédition dissimula un sourire.

« Vous allez mourir ici », lui communiqua l’indigène.

Né en 1904 dans la ferme de son grand-père maternel près de Milville, dans le Wisconsin, Clifford D. Simak fut cultivateur puis journaliste, avant de devenir l’un des écrivains de science-fiction américain les plus traduits au monde. Il est mort en 1988, laissant derrière lui près d’une trentaine de romans — dont l’immense Demain les chiens, réédité rien moins que dix-huit fois en France — et plus de cent nouvelles ; une œuvre considérable empreinte de sensibilité et de nostalgie sans équivalent.

Frères lointains propose huit récits : quatre inédits et autant de perles depuis longtemps indisponibles et jamais réunies, des textes proposés ici dans des traductions nouvelles ou révisées. Il s’agit du second recueil de Clifford D. Simak publié aux éditions du Bélial’, après Voisins d’ailleurs.

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Bifrost n° 62

Bifrost n° 62

Il n’est aucun paysage africain plus grandiose que le pic neigeux du formidable Kilimandjaro, le point culminant du continent. On a tué le plus massif des éléphants connus sur son versant méridional, et pour les miens, Enkaï, notre dieu, résidait à son sommet. Par temps clair, on aperçoit ce mont de cent kilomètres à la ronde. Jadis, il accueillait un million d’animaux en sus du peuple masaï. Sous les acacias se côtoyaient l’éléphant, le buffle et le rhinocéros, tandis que le lion et le léopard guettaient l’antilope sans méfiance près des points d’eau. Nos manyattas couvraient les méplats de ses pentes.

Tout cela remonte au lointain passé. Il n’y a plus d’animaux sur la montagne, ni guère de gens. De nos jours, les Masaïs habitent l’autre Kilimandjaro, dont on m’a chargé de vous parler.

Mike Resnick
Kilimandjaro

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Bifrost n° 61

Bifrost n° 61

« C’est vous qui nous avez envoyés ici — tisser vos toiles, construire vos portails magiques, enfiler le chas de l’aiguille à soixante mille kilomètres/seconde.

On bosse pour vous. Pas question d’arrêter, ni même d’oser ralentir, de peur que la lumière de votre venue ne nous réduise en plasma. Tout ça pour que vous puissiez sauter d’une étoile à la suivante sans vous salir les pieds dans ces interstices de néant infinis.

Serait-ce donc trop demander que vous nous adressiez la parole de temps en temps ?

L’impact de l’évolution, du génie génétique, je connais. Je sais à quel point vous avez changé. J’ai vu ces portails donner naissance à des dieux, des démons, des choses qu’on ne peut espérer comprendre et dont je doute qu’elles aient un jour appartenu à l’espèce humaine : des extraterrestres brûleurs de dur, j’imagine, profitant des rails posés derrière nous.

Des conquérants.

Voire des exterminateurs. »

Peter Watts
L’Ile

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Bifrost n° 60

Bifrost n° 60

« Le nettoyage de camp de manouches, c’est toujours la plaie. T’y vas pour récupérer des bagnoles volées, t’as le signalement des gars qu’y faut taper, t’as même une idée de la disposition des lieux et quand tu finis enfin par rentrer, t’as pas une voiture plus récente qu’une Skoda de 1980 et tes gars, y s’sont déjà fait la tchave y’a belle lurette.

Entre-temps, toi, tu t’es fait caillasser par des minots, les femmes t’ont balancé des tampax usés à la gueule, et puis bon… tu sais jamais comment ça peut dégénérer avec eux. Tiens ! Une fois, dans un camp, on a retrouvé cinq AK47 et dix-huit grenades défensives. Non mais t’imagines ? Si y s’en étaient servis, ces barjos ? On aurait pas eu l’air con avec nos balles en plastique, tiens ! »

Eric Holstein
Enculés !

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Singularité

Xeelees - 2

Singularité

« Les Xeelees possédaient l’univers…

Quand les hommes avaient émergé du système solaire en se traînant à vitesse subluminique sur les premiers vaisseaux GUT, ils étaient entrés dans un environnement complexe peuplé de nombreuses races intelligentes dont chacune obéissait à ses propres impératifs et poursuivait ses propres buts. […] Moins de deux siècles après l’époque de Michael Poole, la Terre était conquise, puis transformée en camp de travail par les gestalts aquatiques que les humains avaient appelé les Squeems. [Mais] où que les hommes et les races qu’ils avaient rencontrées regardent, ils voyaient l’empreinte des Xeelees. Se tenant à l’écart de l’univers, ils évoquaient des dieux : indifférents à tout, concentrés sur leurs vastes œuvres et leurs mystérieux projets… »

Né à Liverpool en 1957, Stephen Baxter est diplômé en mathématiques de l’université de Cambridge. En 1991, il échoue aux examens de présélection pour devenir astronaute sur la station spatiale Mir. La même année paraît Gravité, son premier roman, qui inaugure le plus célèbre de ses cycles, « les Xeelees », gigantesque fresque spatiale à ce jour composée de quatre romans et d’un recueil de nouvelles — l’ensemble étant à paraître aux éditions du Bélial’.

Si Singularité est le deuxième volet des « Xeelees », il peut se lire, à l’instar de l’ensemble du cycle, de façon indépendante. Space opera débridé, ce roman cristallise à merveille le vertige propre au meilleur de la science-fiction, une sidération palpable face à la mise en perspective d’un futur peuplé de merveilles et d’étrangetés.

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Voisins d'ailleurs

Voisins d'ailleurs

Le grand retour de Clifford D. Simak !

 

Il s'approcha, se pencha, et laissa courir sa main sur le haut de l'objet sans se demander ce qui lui inspirait cette réaction, même s'il songea, un peu tard, qu'il aurait sans doute dû se retenir. Mais ce devait être sans danger, car il ne se passa rien — dans un premier temps. Le métal, ou le matériau évoquant le métal, était lisse sous la paume et son poli semblait abriter une terrible dureté ainsi qu'une force effrayante. Il retira sa main, se redressa et recula d'un pas. La machine émit un unique cliquetis, comme par choix — comme pour attirer l'attention, prouver sa nature et indiquer qu'elle possédait une fonction et entendait l'accomplir avec autant d'efficacité que de discrétion. Telle fut du moins la nette impression qu'il en retira. Puis elle pondit un oeuf...

 

Né en 1904 dans la ferme de son grand-père maternel près de Milville, dans le Wisconsin, Clifford D. Simak fut cultivateur puis journaliste, avant de devenir l'un des écrivains de science-fiction américain les plus traduits au monde. Il est mort en 1988, laissant derrière lui près d'une trentaine de romans — dont l'immense Demain les chiens, réédité rien moins que dix-huit fois en France — et plus de cent nouvelles ; une œuvre considérable empreinte de sensibilité et de nostalgie sans équivalent. Voisins d'ailleurs réunit neuf récits de Clifford D. Simak : quatre inédits et cinq perles depuis longtemps indisponibles et jamais réunies en recueil, proposées ici dans des traductions nouvelles ou révisées, dont « La Grotte des cerfs qui dansent », texte d'exception lauréat des prix Hugo, Nebula, Locus et Analog.

 

« On remerciera doublement Pierre-Paul Durastanti. D’abord de nous proposer une anthologie de short stories d’un auteur emblématique, près de la moitié de ces textes étant inédite en français. Et ensuite de nous rappeler que Clifford Donald Simak, à l’inverse de sa production romanesque, n’a jamais cessé de publier de bonnes nouvelles. »

Le Cafard cosmique

 

« Rarement auteur n'aura en effet aussi bien parlé de l'Homme, de tout ce qui le lie à ce qui l'entoure, sans pour cela sombrer dans un nombrilisme stérile : les nouvelles de Simak se lisent d'une traite, touchent au cœur tout en étant puissamment évocatrices de certains ailleurs, la plupart du temps habillées d'une légère pointe d'humour. »

nooSFere

 

« Un recueil d’une cohérence et d’une progression judicieuses (...), tout à fait sympathique et sans doute salutaire, même, tant ces textes pour bon nombre d’entre eux introuvables auparavant méritent le détour. Je ne suis pas contre une deuxième rasade… »

Nebal

 

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Le Grand Livre de Mars

Le Livre de Mars

Le Grand Livre de Mars

La scénariste de L'Empire contre-attaque au sommet de son art...

Mars. La rouge. La sèche. L'immortelle. Mars où les empires s'entrechoquent et s'effondrent, où les héros naissent à l'ombre d'oriflammes barbares. Mars, où la fierté d'un héritage culturel indicible et millénaire. Mars des secrets. Du pouvoir. De la mort. Mars du souvenir...

Au programme de cette édition exceptionnelle, dans des traductions totalement révisées et réunies pour la première fois :

  • L'Épée de Rhiannon
  • Le Secret de Sinharat
  • Le Peuple du talisman
  • Les Terriens arrivent

Le tout encadré d'une préface inédite de Michael Moorcock, d'une large postface biographique signée Charles Moreau et d'une bibliographie exhaustive.

Si Leigh Brackett (1915-1978) est mondialement connue pour avoir scénarisé des films aussi célèbres que Le Grand sommeil (coécrit avec William Faulkner), Rio Bravo ou encore L'Empire contre-attaque, celle qui fut la compagne d'un des plus grands auteurs de l'Âge d'Or, Edmond Hamilton, demeure avant tout une romancière de tout premier plan qui a donné ses lettres de noblesse à la science fantasy.

Ici, Leigh Brackett évoque Mars avec une puissance poétique digne de Ray Bradbury, dont elle fut l'amie et la confidente alors qu'il rédigeait les Chroniques martiennes. Elle a de fait influencé des générations d'écrivains, au premier rang desquels Michael Moorcock, qui reconnaît chez cette grande dame des littératures de genre l'une de ses inspirations fondatrices.

Épuisé  

Le Cimetière des Saints

Le Cimetière des Saints

A cinq ans, esclave sur une planète prison...

Il a cinq ans, et il a tout perdu. Ceux qu'il aimait, son monde d'origine, et jusqu'à son identité.

Parce que le vaisseau de son père a été attaqué en approche du Monde de Conrad, Cal est désormais seul, égaré au cœur d'un continent hostile, à la merci des pillards et des marchands d'esclaves. Pour survivre, il lui faudra non seulement s'adapter, mais surtout découvrir le secret millénaire du Monde de Conrad, un secret qui pourrait bien lui redonner sa vie passée, mais surtout changer la face de l'univers humain.

Un secret qui porte un nom : Jaaprana, quelque part dans le mystérieux Cimetière des Saints…

Né en 1954 à San Jose, Californie, Richard Paul Russo fait ses débuts en 1986 dans Isaac Asimov Science Fiction Magazine. En quelques mois, son nom figure au sommaire de toutes les meilleures revues américaines. Son premier roman, Inner Eclipse, paraît en 1988, suivi un an plus tard de Subterranean Gallery, qui rafle le prestigieux prix Philip K. Dick. Suivront la trilogie de Carlucci, un thriller futuriste d'une rare noirceur, puis La Nef des fous, space opera métaphysique et brutal, lui aussi salué par le prix Philip K. Dick en 2001, paru en France en 2006 et qui connaîtra un remarquable succès, tant critique que public. Son tout dernier roman, Le Cimetière des Saints, est sorti en fin d'année 2005 aux Etats-Unis. C'est son second roman publié en France.

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La Paille dans l'oeil de Dieu

La Paille dans l'oeil de Dieu

Premier contact...

 

Au fin fond de l'espace, dans plus d'un millénaire...

 

Près de quatre siècles de barbarie ont suivi l'effondrement du Premier Empire de l'Homme. Avec l'avènement du nouvel Empire et la fin des terribles Guerres de Sécession, la paix semble revenue dans l'univers humain et ses deux cents mondes habités, une paix que maintient la férule indéfectible de la Marine Impériale.

 

Mais quelque chose arrive... depuis la nébuleuse du Sac à Charbon. Quelque chose qui ressemble à une gigantesque voile solaire, un vaisseau ayant parcouru en un siècle et demi trente-cinq années-lumière. Quelque chose de résolument inhumain.

 

La mission du croiseur impérial Mac-Arthur est dès lors d'une simplicité redoutable : établir le premier contact.

 

Oui, mais avec quoi ?

 

Né en 1938, Larry Niven est un des auteurs de SF les plus célébrés outre-Atlantique. Son cycle de l'Anneau-Monde lui a notamment valu un doublé rare : les prix Nebula et Hugo.

 

Jerry Pournelle, figure controversée de la SF américaine, est né en 1933. Docteur en psychologie, il a longtemps participé au programme spatial étasunien.

 

Ensemble, ils ont signé parmi les oeuvres les plus saisissantes du domaine, dont le présent ouvrage, best-seller fondateur du space opera militaire auquel ils ont donné une suite, The Gripping Hand, encore inédite en France. Leur collaboration a été saluée par le prix Robert Heinlein 2005.

 

Préface de Serge Lehman : Un souvenir du Sac à Charbon

 

« Fascinant, plein de panache... et surtout, le plus remarquable : une nouvelle et brillante approche de la problématique captivante du premier contact. »

Frank Herbert

 

« Peut-être le meilleur roman de science-fiction que j'aie jamais lu. »

Robert Heinlein

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