Tjukurpa
En Australie, des Aborigènes désœuvrés cherchent dans les réalités virtuelles un songe aussi puissant que le Temps du Rêve de leur mythologie, ce temps qui précéda la création de la Terre.
Disponible À paraître Bientôt épuisé En réimpression Épuisé
En Australie, des Aborigènes désœuvrés cherchent dans les réalités virtuelles un songe aussi puissant que le Temps du Rêve de leur mythologie, ce temps qui précéda la création de la Terre.
Lumière Noire a dit : « J’ai mes croisés, mes anges, et maintenant ma papesse... »
Une île du Pacifique à la fois tombeau de Magellan et unique territoire d'un arbre à papillons endémique...
Un homme au visage arraché par un tigre mais qui continue de protéger « la plus belle créature sur Terre », coûte que coûte...
Un Sioux oglala sur le chemin du terrorisme écologique...
Un trio de jeunes Japonais qui gagne sa vie en pillant la zone d'exclusion totale de Fukushima...
Des Aborigènes désœuvrés cherchant dans la réalité virtuelle un songe aussi puissant que le Temps du Rêve de leur mythologie...
Une Terre future, post-Singularité, inlassablement survolée par les drones de Dieu...
Après diverses hésitations, entre Laos, Thaïlande et Cambodge, Thomas Day a finalement posé son sac en banlieue parisienne, où il regarde pousser ses fils en menant de front sa carrière de romancier et ses activités d’éditeur. On lui doit quantité de nouvelles et une douzaine de romans, dont La Voie du sabre, L’Instinct de l'équarrisseur et Le Trône d’ébène. Le dernier d’entre eux, Du sel sous les paupières, est lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire 2013.
Science-fiction, fantastique et uchronie... Thomas Day explore ici le rapport de l’homme à la nature à travers six plongées dans les marges du monde, de l’Asie à l’Amérique en passant par l’Australie. Sept secondes pour devenir un aigle est le troisième de ses recueils à paraître aux éditions du Bélial’.
Lumière Noire a dit : « J’ai mes croisés, mes anges, et maintenant ma papesse... »
Une île du Pacifique à la fois tombeau de Magellan et unique territoire d'un arbre à papillons endémique...
Un homme au visage arraché par un tigre mais qui continue de protéger « la plus belle créature sur Terre », coûte que coûte...
Un Sioux oglala sur le chemin du terrorisme écologique...
Un trio de jeunes Japonais qui gagne sa vie en pillant la zone d'exclusion totale de Fukushima...
Des Aborigènes désœuvrés cherchant dans la réalité virtuelle un songe aussi puissant que le Temps du Rêve de leur mythologie...
Une Terre future, post-Singularité, inlassablement survolée par les drones de Dieu...
Après diverses hésitations, entre Laos, Thaïlande et Cambodge, Thomas Day a finalement posé son sac en banlieue parisienne, où il regarde pousser ses fils en menant de front sa carrière de romancier et ses activités d’éditeur. On lui doit quantité de nouvelles et une douzaine de romans, dont La Voie du sabre, L’Instinct de l'équarrisseur et Le Trône d’ébène. Le dernier d’entre eux, Du sel sous les paupières, est lauréat du Grand Prix de l’Imaginaire 2013.
Science-fiction, fantastique et uchronie... Thomas Day explore ici le rapport de l’homme à la nature à travers six plongées dans les marges du monde, de l’Asie à l’Amérique en passant par l’Australie. Sept secondes pour devenir un aigle est le troisième de ses recueils à paraître aux éditions du Bélial’.
De partout dans le royaume suinte la Technole, monceaux nauséabonds de déchets, de plastique et de bitume qui, en un autre temps, firent la gloire des hommes. Désormais, on ramasse cette Technole dans l’espoir d’y trouver la perle rare. À Caquehan la noire, sinistre capitale du royaume, l’officieur de justice Obicion est confronté à une énigme. À l’endroit où est apparu la Technole pour la première fois, on vient de découvrir un cadavre. Une jeune fille, énuclée, égorgée. Et dont les os sont de plastique.
Dans le même temps, pour sauver sa tête, la belle Malgasta de Sponlieux est contrainte d’accepter un contrat : occire l’intrigante Dame Plommard. Mais comment tuer une personne dont le corps est rempli… de polystyrène ?
Et puis il y a le poète Jobelot, qui n’a qu’un étrange mot à la bouche : Charnaille… Un nom qui éveille des échos du mystérieux En-Dessous.
Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, premier roman de Jérôme Noirez, fresque rabelaisienne où la fantasy est contaminée par la société de consommation.
Apparue de nulle part, une route égare les camionniers du royaume. Une expédition est montée pour en élucider le mystère — une aventure qui mènera le féeur Quiebroch, Ostre l’ourselet et Mesvolu le rioteux jusqu’aux Brolhs du Sud, territoire dont personne n’est jamais revenu.
Ailleurs, bravant les flots de l’Hibondière, l’intrépide Malgasta vogue avec le capitaine Lentise en direction de l’île d’Eschamat, où une monstruosité décime les sujets du roi et réclame Estrec de Gourios. Ce dernier gît dans une chambre du palais royal, où il vertige de plus en plus profondément dans l’En-Dessous tandis que son corps fusionne davantage chaque jour avec la Technole et croît de manière incontrôlable. Et voilà que les antennes radio de sa carcasse se mettent à capter les réminiscences les plus nauséabondes d’un monde qui pourrait bien être le nôtre.
Sans oublier Grenotte et Gourgou, les deux garnements inséparables, qui vont entamer une dangereuse odyssée au pays des esmoignés, des ossifiés et des fraselés.
Paru en son temps sous le titre Les Nuits vénéneuses, Le Sacre des Orties est le deuxième volet de la trilogie Féerie pour les ténèbres, fresque tenant autant de Jérôme Bosch que de François Rabelais.
Quelques mois après les événements narrés dans Le Sacre des orties…
Les troupes de l’inquisition de Sainterel se sont mises en marche vers la région du Centre, avec la ferme intention d’en extirper l’hérésie, si nécessaire au moyen des treize odieuses reliques de l’empereur Chincheface. L’ancien officieur de justice Obicion se dresse contre la féroce inquisition, mais il semble bien être le seul.
Quant à Malgasta et Ostre l’ourselet, ils ont tous deux fort à faire, surtout lorsqu’un triple crime vient bouleverser l’ordre des choses.
Ailleurs, l’inconsolable petite Grenotte fait de la somnabulation et plonge dans l’En-Dessous, toujours plus profond, en direction du fin fond du fond…
Et quelque part dans ces profondeurs insensées se réveille de nouveau l’empereur des moignons Chincheface, également connu sous le nom honnis de Charnaille, et bien décidé à récupérer ce qui est sien : le trône.
Suite directe du Sacre des Orties, Le Carnaval des Abîmes est l’épique conclusion du triptyque entamé par Féerie pour les ténèbres.
De partout, l’En-Dessous vomit la Technole. Sans que l’on sache pourquoi, sourd cette bouillie toxique et nauséabonde qui, en un autre temps, dans un univers bien différent, fit la fierté des hommes, le symbole même de leur domination sur le monde. Des hommes qui, aujourd’hui, exploitent les rebuts de cet univers disparu, mythique, dans des gisements à ciel ouvert aux allures de décharges en quête des oripeaux d’une gloire révolue…
Dans les rues de Caquehan la noire, capitale tentaculaire du royaume, Obicion enquête. Et l’officieur de justice a fort à faire. Le crime est odieux. Une jeune fille. Une adolescente. énucléée. Gorge tranchée ouverte en croix. Là où, précisément, pour la première fois, la Technole fit son apparition… Et à l’horreur s’ajoute l’étrangeté la plus absolue car très vite, il s’avère que les os de la victime sont en… plastique.
Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, œuvre gigantesque, drôle et cruelle, aussi épouvantable qu’attendrissante, un monstre littéraire unique, manière de rencontre improbable entre François Rabelais, Lewis Carroll, Jérôme Bosch et Louis-Ferdinand Céline, à travers laquelle Jérôme Noirez tisse une cartographie romanesque saisissante, un objet littéraire démesuré.
Si Féerie pour les ténèbres fut initialement publié en trois parties, la présente édition, définitive, propose en deux forts volumes dans la collection « Kvasar » l’intégrale de l’œuvre complètement révisée par l’auteur, soit trois romans, auxquels s’ajoutent, et ce pour la première fois, six longues nouvelles…
De partout, l’En-Dessous vomit la Technole. Sans que l’on sache pourquoi, sourd cette bouillie toxique et nauséabonde qui, en un autre temps, dans un univers bien différent, fit la fierté des hommes, le symbole même de leur domination sur le monde. Des hommes qui, aujourd’hui, exploitent les rebuts de cet univers disparu, mythique, dans des gisements à ciel ouvert aux allures de décharges en quête des oripeaux d’une gloire révolue…
Dans les rues de Caquehan la noire, capitale tentaculaire du royaume, Obicion enquête. Et l’officieur de justice a fort à faire. Le crime est odieux. Une jeune fille. Une adolescente. énucléée. Gorge tranchée ouverte en croix. Là où, précisément, pour la première fois, la Technole fit son apparition… Et à l’horreur s’ajoute l’étrangeté la plus absolue car très vite, il s’avère que les os de la victime sont en… plastique.
Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, œuvre gigantesque, drôle et cruelle, aussi épouvantable qu’attendrissante, un monstre littéraire unique, manière de rencontre improbable entre François Rabelais, Lewis Carroll, Jérôme Bosch et Louis-Ferdinand Céline, à travers laquelle Jérôme Noirez tisse une cartographie romanesque saisissante, un objet littéraire démesuré.
Si Féerie pour les ténèbres fut initialement publié en trois parties, la présente édition, définitive, propose en deux forts volumes dans la collection « Kvasar » l’intégrale de l’œuvre complètement révisée par l’auteur, soit trois romans, auxquels s’ajoutent, et ce pour la première fois, six longues nouvelles…
De partout, l’En-Dessous vomit la Technole. Sans que l’on sache pourquoi, sourd cette bouillie toxique et nauséabonde qui, en un autre temps, dans un univers bien différent, fit la fierté des hommes, le symbole même de leur domination sur le monde. Des hommes qui, aujourd’hui, exploitent les rebuts de cet univers disparu, mythique, dans des gisements à ciel ouvert aux allures de décharges en quête des oripeaux d’une gloire révolue…
Dans les rues de Caquehan la noire, capitale tentaculaire du royaume, Obicion enquête. Et l’officieur de justice a fort à faire. Le crime est odieux. Une jeune fille. Une adolescente. énucléée. Gorge tranchée ouverte en croix. Là où, précisément, pour la première fois, la Technole fit son apparition… Et à l’horreur s’ajoute l’étrangeté la plus absolue car très vite, il s’avère que les os de la victime sont en… plastique.
Ainsi débute Féerie pour les ténèbres, œuvre gigantesque, drôle et cruelle, aussi épouvantable qu’attendrissante, un monstre littéraire unique, manière de rencontre improbable entre François Rabelais, Lewis Carroll, Jérôme Bosch et Louis-Ferdinand Céline, à travers laquelle Jérôme Noirez tisse une cartographie romanesque saisissante, un objet littéraire démesuré.
Si Féerie pour les ténèbres fut initialement publié en trois parties, la présente édition, définitive, propose en deux forts volumes dans la collection « Kvasar » l’intégrale de l’œuvre complètement révisée par l’auteur, soit trois romans, auxquels s’ajoutent, et ce pour la première fois, six longues nouvelles…
C’est étrange comme les paysages les plus tristes, ternes, si pathétiquement humains, acquièrent dans leur déroulement, vus de la fenêtre du train qui nous emporte, un intérêt singulier. Les plans successifs s’animent sur le ciel immobile. Tout un décor de théâtre élisabéthain se met en branle, là, sous mes yeux. Et rien ne peut plus tout à fait être désigné comme laid ou vide, pas même les champs sans fin ou les banlieues en grisaille.
Alors que la tête de mon horripilante filleule tangue contre ma cuisse — que, dans sa somnolence, elle a dû confondre avec l’accoudoir —, je songe aux précipitations de notre globe dans l’espace, à ses girations terribles, et je me dis que si nous en avions conscience, hurlant notre terreur comme la filleule hurlant à mon oreille à bord d’un wagonnet de montagnes russes, nous prêterions plus d’attention à ce monde et à nous même…
Jérôme Noirez
Faire des algues