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L'Épée brisée dans le Salon littéraire

Ne boudons pas notre plaisir : ce roman est une grande réussite, certainement un des chefs d’œuvres de son auteur. On comprend que Michaël Moorcock se sente une dette une dette envers Anderson, tant il semble évident qu’il lui ait emprunté le thème de l’épée runique et maléfique pour créer Stormbringer. Le style et la narration de L’Épée brisée renvoient aux contes moyenâgeux, tout autant que Le seigneur des anneaux, publié à la même époque. Plus dur, plus violent, plus âpre, plus sauvage que le roman de Tolkien, le livre d’Anderson suscite en tout cas l’enthousiasme, celui qui animait l’auteur de ces lignes lorsqu’il découvrait le cycle d’Elric à l’âge de 14 ans. On ne peut que recommander et Anderson et ce roman. Le Salon littéraire

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