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Daryl GREGORY

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Nous allons tous très bien, merci

Nous allons tous très bien, merci

Il y a d’abord Harrison, qui, adolescent, a échappé à une telle horreur qu’on en a fait un héros de romans. Et puis Stan, sauvé des griffes d’une abomination familiale l’ayant pour partie dévoré vif. Barbara, bien sûr, qui a croisé le chemin du plus infâme des tueurs en série et semble convaincue que ce dernier a gravé sur ses os les motifs d’un secret indicible. La jeune et belle Greta, aussi, qui a fui les mystères d’une révélation eschatologique et pense conserver sur son corps scarifié la clé desdits mystères. Et puis il y a Martin, Martin qui jamais n’enlève ses énormes lunettes noires… Tous participent à un groupe de parole animé par le Dr Jan Sayer. Tous feront face à l’abomination, affronteront le monstre qui sommeille en eux… et découvriront que le monstre en question n’est pas toujours celui qu’on croit…

Nous allons tous très bien, merci, roman finaliste des plus grands prix littéraires du domaine — Nebula, Locus, Theodore Sturgeon et World Fantasy —, lauréat du prestigieux Shirley Jackson Award, est actuellement en cours d’adaptation par Wes Craven en série télévisée. Il s’agit du second livre de Daryl Gregory publié en France après L’éducation de Stony Mayhall

“Ce roman pluriel — méchamment drôle, horrible et néanmoins curieusement inspirant — s’avère une réussite pleine de ténèbres, un récit en équilibre entre le dégénéré et le sublime…” Publishers Weekly

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L'Éducation de Stony Mayhall

L'Éducation de Stony Mayhall

« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »

Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...

« Lisez ce livre comme une parabole politique mordante ; comme une allégorie religieuse chargée d’ironie ; comme une approche goguenarde de l’altérité ; comme une habile méditation sur le mystère, les limites de la chair ; comme l’un des meilleurs romans de genre de l’année — mais avant tout, lisez-le ! » (James Morrow)

L’Éducation de Stony Mayhall est le premier roman de Daryl Gregory publié en français.

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L'Éducation de Stony Mayhall

L'Éducation de Stony Mayhall

« En général, ça finit avec la Dernière Fille, l’unique survivante : une jeune femme en débardeur éclaboussé de sang. Elle lâche sa tronçonneuse, son fusil à canon scié, son pied-de-biche [...] et sort en titubant d’une vieille maison. [...] L’aube rougeoie sur l’horizon et les goules ont été vaincues (pour le moment, parce que les happy ends ne durent jamais). Peut-être que d’autres survivants finissent par la retrouver et l’emmènent dans une enclave, une forteresse grouillant de soldats, ou à tout le moins de civils bardés de flingues, lesquels la protégeront jusqu’au deuxième volet. Peut-être que cette enclave est située à Easterly, Iowa, à environ cent kilomètres au nord-ouest des ruines de Des Moines. Peut-être que la fille s’appelle Ruby... »

Stony a trois sœurs : Alice, Chelsea, Junie. Et sa mère Wanda, qui l’aime plus que tout. Sans oublier Kwang, son copain de toujours, persuadé que Stony possède un superpouvoir. Parce que Stony est insensible aux flèches que son ami lui plante dans le ventre histoire de rigoler... Il faut dire que Stony ne respire pas. Ne mange pas vraiment. Ne dort jamais. Et pourtant il grandit. Stony ignore ce qu’il est. Il n’a pas pris la mesure de son réel pouvoir. Ça viendra. Reste une interrogation : y en a-t-il d’autres comme lui ? La réponse à cette question emportera tout dans son sillage...

« Lisez ce livre comme une parabole politique mordante ; comme une allégorie religieuse chargée d’ironie ; comme une approche goguenarde de l’altérité ; comme une habile méditation sur le mystère, les limites de la chair ; comme l’un des meilleurs romans de genre de l’année — mais avant tout, lisez-le ! » (James Morrow)

L’Éducation de Stony Mayhall est le premier roman de Daryl Gregory publié en français.

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Deuxième personne du singulier

Deuxième personne du singulier

Adolescente américaine sans histoire, Thérèse est morte voici deux d'une overdose de Z. Z comme zombie ou Z comme zen : c'est là une drogue qui fait davantage qu'altérer la conscience, en l'oblitérant. Définitivement en cas d'abus. Physiquement, Thérèse n'est pas morte. Elle n'est juste plus cette personne que les autres persistent à appeler Thérèse.

Quelque part entre le Greg Egan de « En apprenant à être moi » et le Peter Watts de Vision aveugle, « Deuxième personnel du singulier » de Daryl Gregory questionne avec finesse et humanité les notions d'identité et de conscience au regard des récentes découvertes scientifiques en neurologie.

 

Distribué sous les termes de la licence Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 2.0 France
Parution originale : « Second Person, Present Tense », dans Asimov’s Science Fiction, septembre 2005
Première parution française : Angle mort n° 1, novembre 2010

Gratuit   Télécharger

Bifrost n° 74

Bifrost n° 74

Quatre étages plus bas, au numéro 2 de la rue des Beaux-Arts, la librairie de La Balance est restée ouverte. Derrière
la vitrine couverte de buée, on peut deviner la joyeuse assemblée qui s’y presse. Un placard, sur la porte, annonce pour ce soir le vernissage de la première exposition française de science-fiction. [...]

A l’intérieur, les bouteilles de Sancerre tournent, les rires fusent, les esprits s’échauffent. Le petit local est plein à craquer. Il y a Jacques Bergier et Michel Pilotin, au cœur chacun d’un petit cercle de discussion. Des zazous tirés à quatre épingles se prennent en photo avec le grand robot en fer-blanc déniché dans une casse de Montreuil. Des inconnus bouquinent la collection de titres rares réunie pour l’occasion. Indifférent au brouhaha, Pierre Versins passe de tome en tome, griffonnant trois mots dans un carnet avec un rogaton de crayon gris. Valérie Schmidt, la patronne, fait salon à l’étage pour les quelques journalistes qui ont consenti au déplacement. Ils attendent Queneau, qui ne viendra pas. S’étonnent de la nouveauté de ce genre littéraire venu d’Amérique et vieux de plus de trente ans. La libraire parle du jazz, de la guerre, de l’espoir en l’homme. Montre les photos des immeubles que Gaudi a construits à Barcelone.

Puis la porte s’ouvre, en bas, et Jacques Sternberg entre...

Léo Henry
Le Major dans la perpendiculaire

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Bifrost n° 74

Bifrost n° 74

Quatre étages plus bas, au numéro 2 de la rue des Beaux-Arts, la librairie de La Balance est restée ouverte. Derrière
la vitrine couverte de buée, on peut deviner la joyeuse assemblée qui s’y presse. Un placard, sur la porte, annonce pour ce soir le vernissage de la première exposition française de science-fiction. [...]

A l’intérieur, les bouteilles de Sancerre tournent, les rires fusent, les esprits s’échauffent. Le petit local est plein à craquer. Il y a Jacques Bergier et Michel Pilotin, au cœur chacun d’un petit cercle de discussion. Des zazous tirés à quatre épingles se prennent en photo avec le grand robot en fer-blanc déniché dans une casse de Montreuil. Des inconnus bouquinent la collection de titres rares réunie pour l’occasion. Indifférent au brouhaha, Pierre Versins passe de tome en tome, griffonnant trois mots dans un carnet avec un rogaton de crayon gris. Valérie Schmidt, la patronne, fait salon à l’étage pour les quelques journalistes qui ont consenti au déplacement. Ils attendent Queneau, qui ne viendra pas. S’étonnent de la nouveauté de ce genre littéraire venu d’Amérique et vieux de plus de trente ans. La libraire parle du jazz, de la guerre, de l’espoir en l’homme. Montre les photos des immeubles que Gaudi a construits à Barcelone.

Puis la porte s’ouvre, en bas, et Jacques Sternberg entre...

Léo Henry
Le Major dans la perpendiculaire

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