Connexion

Elian BLACK'MOR

Disponible   À paraître   Bientôt épuisé   En réimpression   Épuisé

Stark et les rois des étoiles

Skaith / les aventures d'Eric John Stark

Stark et les rois des étoiles

« Enfin, les vaisseaux promis arrivèrent.

Stark les contempla sur les écrans lorsqu’ils jaillirent du néant. Shorr Kan les lui détaillait. Les escadrons du royaume de Fomalhaut, blasonnés d’un soleil blanc à la proue. Les nefs de Rigel, de Déneb, d’Algol, d’Altaïr, d’Antarès, de Véga. Les flottes des lointains royaumes de la Lyre, du Cygne, de Cassiopée, du Lièvre, du Corbeau, d’Orion. Les navires des barons d’Hercule, à l’enseigne de l’amas doré. Et ainsi de suite, et ainsi de suite, jusqu’à ce que les oreilles du Terrien résonnent de noms d’étoile et qu’un vertige le saisisse devant l’ampleur de ce rassemblement.

En dernier, ce furent les vastes ombres mouvantes de la guerre interstellaire, les gigantesques croiseurs de l’Empire, et les flottes entières des Rois des étoiles, venues se masser devant le Voile de Dendrid, au point de poudroyer l’espace. »

Leigh Brackett est mondialement connue pour avoir scénarisé certains des plus grands chefs-d’œuvre du cinéma américain : Rio Bravo, Le Grand sommeil (coécrit avec William Faulkner), ou encore le plus fascinant des épisodes de Star Wars : L’Empire contre-attaque. Mais c’est aussi une romancière de tout premier plan ayant donné ses lettres de noblesse à la science fantasy, créant avec son héros Eric John Stark une figure romanesque centrale qui a irrigué toute son œuvre ou presque et influençé quantité d’écrivains, Michael Moorcock en tête.

Le présent omnibus, mêlant inédit et rééditions, dont la trilogie de Skaith, dans des traductions révisées, convoque deux proches de cette grande dame des littératures de genre : son ami Ray Bradbury, avec qui elle signe un long récit de jeunesse, et Edmond Hamilton, son conjoint, pour une rencontre entre Stark et l’univers des Rois des étoiles. Vertigineux... 

26,00 €   Ajouter au panier

Stark et les rois des étoiles

Skaith / les aventures d'Eric John Stark

Stark et les rois des étoiles

« Enfin, les vaisseaux promis arrivèrent.

Stark les contempla sur les écrans lorsqu’ils jaillirent du néant. Shorr Kan les lui détaillait. Les escadrons du royaume de Fomalhaut, blasonnés d’un soleil blanc à la proue. Les nefs de Rigel, de Déneb, d’Algol, d’Altaïr, d’Antarès, de Véga. Les flottes des lointains royaumes de la Lyre, du Cygne, de Cassiopée, du Lièvre, du Corbeau, d’Orion. Les navires des barons d’Hercule, à l’enseigne de l’amas doré. Et ainsi de suite, et ainsi de suite, jusqu’à ce que les oreilles du Terrien résonnent de noms d’étoile et qu’un vertige le saisisse devant l’ampleur de ce rassemblement.

En dernier, ce furent les vastes ombres mouvantes de la guerre interstellaire, les gigantesques croiseurs de l’Empire, et les flottes entières des Rois des étoiles, venues se masser devant le Voile de Dendrid, au point de poudroyer l’espace. »

Leigh Brackett est mondialement connue pour avoir scénarisé certains des plus grands chefs-d’œuvre du cinéma américain : Rio Bravo, Le Grand sommeil (coécrit avec William Faulkner), ou encore le plus fascinant des épisodes de Star Wars : L’Empire contre-attaque. Mais c’est aussi une romancière de tout premier plan ayant donné ses lettres de noblesse à la science fantasy, créant avec son héros Eric John Stark une figure romanesque centrale qui a irrigué toute son œuvre ou presque et influençé quantité d’écrivains, Michael Moorcock en tête.

Le présent omnibus, mêlant inédit et rééditions, dont la trilogie de Skaith, dans des traductions révisées, convoque deux proches de cette grande dame des littératures de genre : son ami Ray Bradbury, avec qui elle signe un long récit de jeunesse, et Edmond Hamilton, son conjoint, pour une rencontre entre Stark et l’univers des Rois des étoiles. Vertigineux... 

12,99 €   Ajouter au panier

Elbrön

Bankgreen - 2

Elbrön

« Tous ceux qui peuplent Bankgreen ne sont rien sans elle, mais Bankgreen demeure tout sans eux. Bankgreen est souveraine... »

Mordred, le dernier des varaniers, lui qui connaissait la fin de tous, a finalement rencontré la sienne.

Arfans et Digtères se sont entretués dans un carnage insensé. Seuls demeurent les Shores, anciens esclaves qui appréhendent leur liberté nouvelle. Mais pour combien de temps ? Car au loin, par-delà le temps blanc, se dresse une silhouette de cendre tordue, un arbre mort aux contours mâchés dénué de visage. Une silhouette qui approche, et qui bientôt se double, se triple, se mue en multitude portée par la haine. Qui pourra faire face à semblable horde ? Personne.

À moins, peut-être, que les restes d’une armure abandonnée et éparpillée retrouvent leur possesseur. Un guerrier. Un mercenaire. Dont tous disaient qu’il ne pouvait mourir...

Thierry Di Rollo a publié de nombreux romans et nouvelles — pour l’essentiel au Bélial’, mais également chez Denoël ou dans la « Série Noire » des éditions Gallimard. Il signe avec Bankgreen / Elbrön sa première incursion en fantasy, créant de fait l’un des univers épiques les plus novateurs du domaine, ambition saluée par le Prix Elbakin 2011 du meilleur roman de l’année pour le volet initial du diptyque.

« Raconter ce qui pourrait parfois s’enfuir et se cacher dans les méandres de l’irracontable, la chose n’est pas aisée, assurément. Comment tenter l’aventure narrative, d’une manière adaptée à ce monde hors normes qu’elle raconte et traverse et parcourt, ce monde et ses occupants ? Comment ? Raconter à travers la somme de tous ces écueils prévisibles dressés sur le chemin... Thierry Di Rollo l’a fait et y est parvenu avec une rare force évocatrice — avec ce qui fait qu’on entre dans ce monde à sa suite sans plus pouvoir s’éloigner de ses pas. »

PIERRE PELOT, extrait de la préface de Bankgreen.

20,00 €   Ajouter au panier

Bifrost n° 67

Bifrost n° 67

La première fois, ils venaient tout droit de la mine à ciel ouvert, Trager et les autres, les presqu’hommes plus âgés qui contrôlaient leurs cadavres à ses côtés. Cox était l’aîné et, en raison de son expérience, il avait déclaré, péremptoire, que Trager devait les accompagner, même s’il n’en éprouvait aucune envie. Un autre membre du groupe avait ri avant de faire remarquer que Trager ne saurait même pas comment s’y prendre. Mais Cox, le meneur, l’avait harcelé jusqu’à ce qu’il cède. Et, le jour de paie, Trager suivit les autres à la Maison des corps perdus, anxieux mais impatient, et, arrivé au bas de l’escalier, il remit son argent à un homme qui lui donna en échange la clé d’une chambre. Il entra dans la pièce obscure en tremblant, avec appréhension. Ses compagnons avaient gagné d’autres chambres, le laissant seul avec elle (non, ça, pas elle, ça, se rappela-t-il avant de l’oublier aussitôt) dans ce local gris et miteux avec une seule lampe fumeuse.

George R. R. Martin
Retour aux sources

5,99 €   Ajouter au panier

Bifrost n° 67

Bifrost n° 67

La première fois, ils venaient tout droit de la mine à ciel ouvert, Trager et les autres, les presqu’hommes plus âgés qui contrôlaient leurs cadavres à ses côtés. Cox était l’aîné et, en raison de son expérience, il avait déclaré, péremptoire, que Trager devait les accompagner, même s’il n’en éprouvait aucune envie. Un autre membre du groupe avait ri avant de faire remarquer que Trager ne saurait même pas comment s’y prendre. Mais Cox, le meneur, l’avait harcelé jusqu’à ce qu’il cède. Et, le jour de paie, Trager suivit les autres à la Maison des corps perdus, anxieux mais impatient, et, arrivé au bas de l’escalier, il remit son argent à un homme qui lui donna en échange la clé d’une chambre. Il entra dans la pièce obscure en tremblant, avec appréhension. Ses compagnons avaient gagné d’autres chambres, le laissant seul avec elle (non, ça, pas elle, ça, se rappela-t-il avant de l’oublier aussitôt) dans ce local gris et miteux avec une seule lampe fumeuse.

George R. R. Martin
Retour aux sources

Épuisé  

Ça vient de paraître

Le monde, tous droits réservés

Le dernier Bifrost

Bifrost n° 113
PayPlug